Il y a un vacarme ce soir au-dessus
Et même plus bas
Dans l’escalier, l’ascenseur
On entend par intervalle le bruit des portes
Une-à-une, étage par étage.
La fenêtre close depuis plusieurs mois, ouverte
Et des pas, des cent pas, qui vont, viennent
Je sais qu’ils recueillent une solitude arrachée
Au silence, à l’oubli
Avec peu de mots, un téléphone, un numéro d’identité
Pour un mort depuis quinze jours.
Et même plus bas
Dans l’escalier, l’ascenseur
On entend par intervalle le bruit des portes
Une-à-une, étage par étage.
La fenêtre close depuis plusieurs mois, ouverte
Et des pas, des cent pas, qui vont, viennent
Je sais qu’ils recueillent une solitude arrachée
Au silence, à l’oubli
Avec peu de mots, un téléphone, un numéro d’identité
Pour un mort depuis quinze jours.
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